Mogreina.Centre de détention de la police nationale pour l’immigration.Photo : Stian Lysberg Solum / NTB scanpix
Les expulsions ont été suspendues en raison de l’épidémie de coronavirus. Désormais, la police prévient qu’elle devra peut-être libérer les immigrés clandestins qui présentent un risque social.
Le service correctionnel norvégien libère désormais les détenus qui n’ont plus qu’une courte période de peine pour minimiser le risque d’infection dans les prisons norvégiennes. Ainsi, des problèmes de capacité sont apparus dans l’unité d’immigration de Trandum, écrit Aftenposten.
De nombreux détenus sont des ressortissants étrangers qui n’ont pas de résidence légale en Norvège, qui seront détenus à Trandum en attendant leur libération.
« La situation extraordinaire qui règne actuellement en Norvège, en raison de l’épidémie de COVID-19, a également eu des conséquences majeures pour le service d’immigration de la police de Trandum », a écrit le service d’immigration de la police dans un document envoyé au service correctionnel norvégien le 18 mars.
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