Depuis 2009, les points scolaires moyens ont augmenté régulièrement pour atteindre la moyenne de 41,2 cette année. De 2015 à 2016, les notes ont augmenté dans chaque comté, indépendamment de l’origine sociale et de la catégorie d’immigration.

Ces dernières années, nous avons constaté une évolution positive des points scolaires, qui s’applique également aux 60 720 élèves ayant achevé le premier cycle du secondaire avec des points scolaires en 2016. La moyenne nationale a augmenté régulièrement, passant de 39,5 en 2009 à 41,2 cette année. Les filles obtiennent en moyenne 4,4 points de plus que les garçons.

Augmentation dans tous les comtés, et surtout chez les immigrants
Les points scolaires augmentent dans tous les comtés, sauf en Aust-Agder où la moyenne reste stable depuis 2015 à 40,6 points. Depuis que ces statistiques ont été publiées pour la première fois en 2009, 2016 est la première année où chaque comté a atteint une moyenne de plus de 40 points. Au Finnmark, la moyenne a augmenté de près d’un point depuis l’année scolaire précédente, passant de 39,2 à 40,1.

Les notes augmentent également dans toutes les catégories d’immigration. La moyenne la plus élevée est parmi les Norvégiens nés de parents immigrés de l’UE / EEE, des États-Unis, du Canada, de l’Australie et de la Nouvelle-Zélande, avec 43,5. Depuis 2009, la moyenne a davantage augmenté chez les élèves immigrés, avec 2,7 points. L’augmentation équivalente chez les élèves non issus de l’immigration est de 1,7.

Impact de l’éducation des parents
Comme nous l’avons vu ces dernières années, les élèves dont les parents sont très scolarisés obtiennent des notes plus élevées. Chaque année à partir de 2009, la moyenne est répartie entre les élèves dont les parents sont avec et sans enseignement supérieur. Alors que les enfants de parents diplômés de l’enseignement supérieur obtiennent en moyenne plus de 40 points scolaires, d’autres atteignent une moyenne inférieure à 40. Parallèlement, nous constatons que les notes moyennes augmentent chez tous les élèves quel que soit le niveau d’éducation de leurs parents.

De plus grandes disparités en mathématiques
Les mathématiques sont la matière avec la note moyenne la plus basse, et c’est aussi celle où l’on observe les plus grandes disparités entre les élèves en fonction du niveau d’éducation des parents. Alors que les enfants de parents ayant une formation supérieure plus longue atteignent en moyenne 4,3 en mathématiques, la moyenne correspondante pour ceux dont les parents n’ont pas fait d’études supérieures est de 2,7. Comme l’année scolaire précédente, c’est dans l’éducation physique et l’alimentation et la santé que les notes sont les moins affectées par les facteurs socio-économiques. Dans ces matières, tous les groupes atteignent une moyenne d’environ 4.