Mark ZuckerbergLe fondateur de Facebook, Mark Zuckerberg, s’adresse au public lors d’une réunion du Sommet des PDG de l’APEC (Coopération économique Asie-Pacifique) à Lima, au Pérou, le 19 novembre 2016. REUTERS/Mariana Bazo

Facebook envisage de marquer les articles douteux avec un avertissement pour limiter la propagation de fausses nouvelles.

Le problème des articles de presse sans fondement a reçu une attention considérable à la suite des élections présidentielles américaines.

Pendant la campagne électorale, une longue série d’articles de ce type a reçu une attention considérable dans les médias sociaux, et les critiques pensent que de fausses nouvelles peuvent avoir affecté le résultat de l’élection.

Le PDG de Facebook, Mark Zuckerberg, quelques jours après les élections, a rejeté le fait que leur diffusion d’informations sans vérification des faits puisse avoir affecté le résultat, et l’a qualifié d' »idée folle ».

Dans un récent article sur Facebook, il souligne cependant que Facebook prend le problème très au sérieux et présente plusieurs mesures possibles.

La coopération avec des organisations engagées pour vérifier indépendamment les faits en fait partie.

Une autre consiste à vérifier les informations fausses signalées par les utilisateurs et les vérificateurs de faits indépendants avec un avertissement.

Zuckerberg souligne également une mesure qui a été annoncée plus tôt cette semaine, qui consiste à supprimer les options de fausses pages de nouvelles pour utiliser le réseau publicitaire de l’entreprise pour monétiser.

– Une grande partie de la désinformation est générée par du spam à motivation financière. Nous envisageons de détruire l’économie de ces règles publicitaires que nous avons déjà annoncées, écrit Zuckerberg.

Source : NTB scanpix / Norway.mw