Ministre des Affaires étrangères, Børge Brende.  DUMinistre des Affaires étrangères, Børge Brende.Photo : Høyre

UD – La gestion de l’argent de l’aide présente des « faiblesses constantes » dans plusieurs domaines

Le ministère des Affaires étrangères (UD) a constaté des faiblesses générales après avoir examiné 13 accords d’aide lors de contrôles ponctuels.

L’examen mené par le ministère des Affaires étrangères a révélé que les lois, règlements et directives internes relatifs à la gestion des subventions et à la passation des marchés n’ont pas été pleinement respectés. Cela se produit dans le cadre de la coopération du service extérieur avec l’International Law and Policy Institute AS (ILPI).

– Le système n’a pas non plus saisi et corrigé les faiblesses révélées par l’examen. Les défaillances se produisent en grande partie dans les mêmes parties de l’organisation et se reproduisent au fil du temps, indique le rapport du ministère des Affaires étrangères.

– Dans deux cas, l’ILPI a reçu des subventions même si l’entreprise n’était pas éligible en tant que bénéficiaire en vertu des règles du régime en vigueur », conclut le rapport.

C’est en décembre de l’année dernière que le ministre des Affaires étrangères, Børge Brende, a ordonné à son propre ministère de mener deux enquêtes.

L’une consistait en une vérification par échantillonnage de ce qu’on appelle des accords de subvention, où le bénéficiaire reçoit des coûts d’assistance sans avoir à participer à un processus d’appel d’offres.

Le deuxième était un examen de la coopération de sept ans d’UD avec l’ILPI de 2009 à 2016.

Les deux examens font suite aux divulgations de VG concernant les allocations d’UD à la société de conseil ILPI.

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