Un jeune de 25 ans nie toute culpabilité dans le meurtre de son père - 3

Un jeune de 25 ans nie toute culpabilité pour le meurtre de son propre père à Steinkjer

Un homme de 25 ans accusé d’avoir tué son propre père en mars de cette année, a comparu lundi devant le tribunal de district d’Inntrøndelag.

Un homme de 25 ans accusé d’avoir tué son propre père en mars de cette année, s’est réuni lundi devant le tribunal de district d’Inntrøndelag.

Le joueur de 25 ans nie toute culpabilité

– Cette réponse concerne, entre autres, la question de la raison, déclare le défenseur de l’homme, Rolf Christensen, juste après que son client se soit déclaré non coupable des charges retenues contre lui, écrit NRK.

Ne sait pas pourquoi

Le joueur de 25 ans a fait une déclaration devant le tribunal lundi. Il selon NRK, dit qu’il a eu beaucoup de pensées autour du 30 mars, mais qu’il n’a jamais eu l’idée de tuer qui que ce soit.

Selon Adresseavisen, l’accusé a été hospitalisé dans un service psychiatrique à la suite du meurtre de mars de cette année. Là, on lui diagnostique une schizophrénie paranoïde.

Au tribunal, il a également été déclaré que la famille avait tenté de le faire admettre de force à plusieurs reprises auparavant, mais qu’elle estimait ne pas avoir été entendue.

– On a vu qu’il était malade mais on n’a pas été compris, raconte la mère, selon Adresseavisen, décrivant l’accusé comme un homme doux qui avait de bonnes relations avec son père et le reste de la famille.

Comportement modifié

Le jour du meurtre, l’accusé aurait tenté de recruter des collègues parmi les Témoins de Jéhovah et a été renvoyé du travail chez lui à cause de cela.

Un peu plus tard ce jour-là, l’accusé aurait quitté son emploi, écrit NRK.

Le frère de l’accusé est venu à l’endroit où son père était à terre, et il a dit au tribunal qu’il devait tenir son frère à terre et qu’on disait des choses qui ne faisaient ni queue ni tête.

Des experts en psychiatrie légale ont conclu que le jeune homme de 25 ans était en psychose au moment du meurtre et le procureur estime qu’il devrait être condamné à des soins de santé mentale forcés.

La principale préoccupation dans l’affaire pénale est de savoir si les conditions sont réunies pour condamner l’homme à un traitement mental compulsif ou non.

© NTB Norway.mw / La Norvège aujourd’hui