Le Parti du progrès estime que la ministre des Affaires étrangères Anniken Huitfeldt (Ap) doit évaluer sa position à la suite des transactions boursières de son mari alors qu’elle était ministre.

La ministre des Affaires étrangères Anniken Huitfeldt (AP) lors de la conférence de presse sur l'évaluation des compétences dans le cadre de la négociation d'actions de son mari dans des sociétés norvégiennes cotées alors qu'elle était ministre des Affaires étrangères.  Le vice-président du FRP, Hans Andreas Limi, demande désormais à la ministre des Affaires étrangères Anniken Huitfeldt (Ap) de réfléchir à son poste et de démissionner.

La ministre des Affaires étrangères Anniken Huitfeldt (AP) lors de la conférence de presse sur l’évaluation des compétences dans le cadre de la négociation d’actions de son mari dans des sociétés norvégiennes cotées alors qu’elle était ministre des Affaires étrangères. Le vice-président du FRP, Hans Andreas Limi, demande désormais à la ministre des Affaires étrangères Anniken Huitfeldt (Ap) de réfléchir à son poste et de démissionner.

Mercredi dernier, on a appris que le mari de Huitfeldt avait acheté des actions, entre autres, de Kongsberg Gruppen et d’entreprises de saumon alors qu’elle était ministre.

Depuis lors, le chef adjoint du FRP, Hans Andreas Limi, estime que Huitfeldt a caché des informations et modifié son explication, écrit VG.

Il estime, entre autres, que Huitfeldt aurait dû informer E24.no que son mari avait reçu l’ordre de geler ses échanges d’actions, lorsqu’ils lui ont posé des questions sur la participation de son mari le 14 août. Il s’est écoulé deux semaines avant qu’elle ne parle des nombreuses transactions boursières de son mari.

– Assez, c’est assez maintenant. Le moment est venu pour elle de se demander si elle peut continuer à exercer ses fonctions de ministre des Affaires étrangères. Je lui recommande de démissionner, dit Limi.

Il estime que cette affaire affaiblit désormais la confiance à la fois dans la politique en général et dans notre système de gouvernance politique.

Le journal a tenté d’entrer en contact avec le ministère des Affaires étrangères pour obtenir des commentaires sur les actions de Limi, mais n’a jusqu’à présent reçu aucun commentaire de la part du ministre des Affaires étrangères.