Bien que les médias parlent principalement de la fusion municipale, le référendum sur l’UE en Grande-Bretagne et Trump aux États-Unis sont des questions qui font la plus grande impression dans les médias.

Bien que le Brexit arrive en neuvième position dans la liste des sujets sur lesquels les médias ont le plus retenu l’attention ce printemps, c’est cette histoire qui a le plus marqué les Norvégiens. 54% ont suivi le drame au Royaume-Uni et 51% ont suivi la course de Donald Trump aux élections présidentielles aux États-Unis.

Montré par le sondage Agenda Tracker et l’institut de sondage YouGov. L’analyste des médias Retriever et les opérateurs de relations publiques travaillent ensemble pour mesurer et analyser les sujets les plus discutés dans les médias norvégiens quatre fois par an.

Triste et fatigué de la terreur

Il n’y a pas de cas de drame politique qui évoque les grands sentiments, selon l’enquête. Les attentats terroristes dans le monde rendent 83 % des personnes interrogées tristes ou contrariées, suivis de l’accident d’hélicoptère à Turøy près de Bergen (79 %) et de la crise des réfugiés (64 %).

– Il y a une diminution à la fois du nombre d’articles sur la crise des réfugiés et de l’EI et des sentiments que ces histoires produisent. Cela suggère que les gens commencent à se lasser de ces histoires. Il y a tout simplement trop de misère, déclare le conseiller des opérateurs de relations publiques Lukas Loeb, qui l’a comparé aux trois premiers mois.

L’actualité de la fusion municipale

Les référendums sur les fusions municipales sont le cas que les médias ont écrit la plupart des trois derniers mois, dans plus de 20 000 cas.

En attendant, il ne semble pas que la discussion autour du grand projet du ministre municipal ait suscité des émotions chez les habitants. Seuls 14% se sont laissés contrarier par cela, et seuls 4% se sont dits ravis de la couverture.

– La fusion municipale est un bon matériel pour les médias, en particulier les médias locaux, mais nos chiffres montrent que la plupart des gens ne s’en laissent pas emporter. Ces chiffres sont conformes au faible taux de participation au référendum, déclare Kristina Nilsen, responsable de la clientèle et de l’analyse chez Retrievers.

L’enquête porte sur le deuxième trimestre de cette année, soit avril, mai et juin.

Source : NTB scanpix / Norway\.mw