La police pense que c’est un défi de pouvoir procéder à un interrogatoire facilité des enfants dans les sept jours. La police du district de l’Est demande que la date limite exigeante en ressources soit prolongée.
– Nous devrions disposer d’un délai initial de deux semaines pour examiner l’affaire, pour procéder à un interrogatoire informatif, déclare le chef de la police de Romerike, Geir Solem, à Dagbladet.
Il dit qu’ils utilisent une quantité importante de ressources pour les interrogatoires facilités qu’ils ont du mal à terminer les cas.
– Le danger est que nous ne parvenions pas à voir les cas les plus importants avec la quantité d’interrogatoires facilités, dit-il.
La police de Romerike a reçu la visite du ministre de la Justice Per-Willy Amundsen et du ministre de l’Enfance et de l’Égalité, Solveig Horne, au sujet de l’enquête « OP Edit » la semaine dernière, où la police nous a dit qu’elle avait l’impression de courir d’un interrogatoire à l’autre.
Le district de la police de l’Est estime qu’il procédera à 1 350 interrogatoires de ce type cette année, soit une augmentation de plus de 60 %.
Source : NTB scanpix / Norway.mw