Ministère de la Défense HV PST PoliceLa Garde nationale aide la police locale à sécuriser un objet. Photo: forsvaret.no

Le ministère de la Défense réagit au licenciement du PST

Le Service de sécurité de la police (PST) a rejeté un rapport du ministère de la Défense en juin concernant une fuite à Dagens Næringsliv. Le chef de service n’aime pas ça.

– Selon le ministère de la Défense, il est regrettable que l’affaire soit classée sans suite au motif qu’il n’y a pas de « raison raisonnable » pour enquêter sur l’existence d’une infraction pénale, déclare Arne Røksund, chef de département, dans un lettre à PST à laquelle VG a eu accès.

Par ailleurs, il écrit que « cela affaiblit le respect des dispositions de la loi sur la sécurité sur le secret des informations qui doivent être protégées pour des raisons de sécurité ».

Le ministère de la Défense a signalé l’affaire après que Dagens Næringsliv a publié une série d’articles concernant les critiques du Bureau du vérificateur général contre les forces armées en avril.

Destiné à la publication

Le directeur du département du PST, Beate Gangås, a déclaré qu’ils connaissaient le point de vue du ministère sur la question, mais qu’ils ne s’étaient pas plaints de la révocation auprès d’un bureau du procureur supérieur.

– Le licenciement ne peut en aucun cas être interprété comme une attitude générale selon laquelle les failles de sécurité ne sont pas prises suffisamment au sérieux par PST, déclare Gangås.

Selon le journal, les documents étaient destinés à être publiés, mais ont été marqués comme confidentiels par le ministère.