Tribunal de district de Bergen.  conférencier Harbour Master Abus sexuel Chambre noireTribunal de district de Bergen.Photo : wikipedia.org

L’accusé de Dark Room admet sa culpabilité partielle devant le tribunal de Bergen

Un homme de Bergen qui a été arrêté dans le cadre d’une enquête policière sur les affaires dites de la chambre noire, s’est réuni mardi au tribunal de district de Bergen.

L’homme dans la trentaine a admis une culpabilité partielle lorsque l’affaire a commencé devant le tribunal mardi matin, écrit Bergens Tidende.

Il a été arrêté par la police au cours de l’enquête sur une autre affaire dans le complexe dit de la chambre noire, et plus tard poursuivi en vertu des articles 204, 311 et 266 du Code pénal.

Les deux premiers concernent la production, la possession et la distribution de matériel pédopornographique, tandis que le dernier est lié au fait qu’il aurait dû violer son épouse en se faisant passer pour elle et en partageant à plusieurs reprises des photos d’elle.

Chats illégaux

L’accusation est basée sur des journaux provenant de conversations illégales avec au moins 14 personnes entre 2013 et 2016. Dans ceux-ci, la police pense que l’homme a décrit comment les abus sexuels et les mauvais traitements devraient être infligés à leurs enfants mineurs.

L’homme admet soi-disant les discussions en question, mais déclare qu’il ne s’agissait que de fantasmes et de jeux d’esprit et qu’il ne savait pas que c’était puni par la loi. Devant le tribunal, il a également reconnu qu’il s’était fait passer pour une femme, selon le journal.

– Il s’agit d’une personne fictive qui était une femme et ses enfants. La fiction était basée sur certaines des caractéristiques de mon ex-femme. Je n’ai jamais fait partie de la fiction moi-même. Mais ce n’est pas bien ce que j’ai fait, et je suis désolé, dit l’homme dans sa déclaration.

Il n’a pas reconnu sa culpabilité pour les points concernant la possession d’images illégales illustrant l’abus d’enfants ou les sexualisant ou pour le point de violation de son ex-femme.

© NTB Norway.mw / La Norvège aujourd’hui