L’année dernière, 10 940 immigrants familiaux de 142 pays sont arrivés en Norvège. C’est 3 500 de moins qu’en 2017.

À titre de comparaison, il y avait 14 432 immigrés familiaux en Norvège en 2017, soit 32 %.

Les premiers de la liste en 2018 étaient 975 Indiens, suivis de 923 Philippins et 902 Syriens. Viennent ensuite la Thaïlande (874), l’Érythrée (870) et la Somalie (471).

Si l’on divise la liste en fonction du contexte de la personne qui est en Norvège, un troisième (3930) des immigrants de la famille est venu à une personne norvégienne ou nordique.

Les catégories suivantes sont l’immigration familiale vers un travailleur étranger ayant séjourné en Norvège (2 484), vers un réfugié (1 713) ou vers un étranger ayant obtenu la résidence permanente (1 547).

Environ la moitié des immigrants de la famille étaient des conjoints (5 606) et un tiers (3 523) étaient des enfants. 65% de ceux qui sont venus en Norvège étaient des filles ou des femmes. Les hommes adultes ne représentaient que 12% des immigrés familiaux, selon les chiffres présentés jeudi par la Direction de l’immigration.

Sur la liste des nationalités venues d’un Norvégien ou d’un Nordique
personne, la Thaïlande, les Philippines et les États-Unis sont en tête. De même, pour ceux qui sont venus à un employé étranger en Norvège, l’Inde, les États-Unis et la Serbie sont en tête de liste.

Ceux qui ont obtenu le regroupement avec un réfugié venaient principalement de Syrie, d’Érythrée et de Somalie, tandis que le regroupement avec un étranger qui avait résidé de façon permanente était dominé par l’Érythrée, la Somalie et les Philippines.

84 % de tous ceux qui en ont fait la demande ont reçu un « oui ». Les citoyens des pays nordiques ou de la zone EEE ne sont pas inclus dans ces chiffres.

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