Selon une nouvelle étude, la moitié des revenus de l’industrie de la pisciculture norvégienne sortent du pays. Un tiers de l’industrie est propriété étrangère.
L’étude révèle que 36% de la capacité de production norvégienne en 2018 appartenait à des acteurs étrangers, contre 32% en 2015, écrit E24.
Le Royaume-Uni détient 12,7%, les États-Unis 8,8% et Chypre 3,2%.
L’étude a été réalisée par Linda Nøstbakken et le co-auteur Simon Flatebø Selle à la Norwegian School of Economics montre également qu’environ la moitié des recettes sortent du pays.
Pour 2018, un total de 13,2 milliards de NOK a été versé. Sur ce total, 6,4 milliards de NOK, soit 48,4%, sont allés à l’étranger, écrit le journal.
– «Si vous regardez Mowi, par exemple, la propriété étrangère est de 77%. Lorsqu’ils versent une part importante du dividende total, cela fait monter la moyenne », explique Selle.
Nøstbakken souligne qu’il n’est pas négatif que les investisseurs étrangers investissent dans la pisciculture norvégienne.
– «C’est ce dont vous rêvez. Cela montre que vous réussissez et que l’industrie a bien fait », dit-elle.
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