Le chef adjoint du Parti travailliste, Bjørnar Skjæran, a soutenu les chauffeurs de bus dans leur grève.
« La grève qui s’intensifie aujourd’hui est un combat équitable contre les différences croissantes », a écrit Skjæran dans un e-mail au bureau de presse NTB.
«Nous voulons exprimer notre soutien à un groupe à bas salaires dont dépend la société, qui a un travail vulnérable pendant la période du coronavirus et qui aide à faire tourner les roues (de la société). Ils ont évidemment le droit d’exiger un salaire juste », a-t-il souligné.
Samedi, la grève des bus en Norvège s’est intensifiée alors que 4 500 autres chauffeurs de bus dans sept comtés se sont joints à la grève.
Au total 8 500 chauffeurs en grève
La grève touche désormais une grande partie des transports publics en Norvège.
Ainsi, un total d’environ 8 500 chauffeurs participent à la grève qui a débuté dimanche 20 septembre, lorsque la médiation entre les employeurs et les travailleurs de l’industrie du bus a échoué.
« Le Parti travailliste sympathise avec les chauffeurs de bus et pense qu’un conflit de travail légal doit être résolu par les parties », a écrit Skjæran, ajoutant que les chauffeurs de bus ont des salaires bas par rapport aux millions que touchent nombre de leurs patrons.
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