La nouvelle recrue d’Aston Villa Jan Bednarek a qualifié Erling Haaland de « juste un humain » et a expliqué comment son équipe peut empêcher Manchester City de remporter son troisième match consécutif en Premier League.

Alors que le ballon touchait le fond du filet de Nottingham Forest pour la troisième fois en seulement 38 minutes, tout doute que Haaland aurait du mal en Premier League a été levé. Le neuvième but du Norvégien en cinq matchs le place désormais à seulement six buts d’égaler le meilleur rendement du club en championnat la saison dernière.

Kevin de Bruyne a réussi à marquer 15 fois pour les Blues lors de la campagne victorieuse de City 2021/22. Le maestro belge a déjà marqué un but sensationnel à l’extérieur du pied droit contre Bournemouth, mais il ne peut tout simplement pas rivaliser avec l’appétit de l’ancien attaquant du Borussia Dortmund devant le but.

A LIRE AUSSI : Guardiola voit le retour de la tactique de l’ancienne ville avec Alvarez

Les managers de l’opposition passeront sans aucun doute d’innombrables heures à chercher comment arrêter Haaland lorsque leurs équipes se heurteront à la machine à marquer des buts. C’est au tour de Steven Gerrard cet après-midi d’essayer de garder l’attaquant de 6 pieds 4 pouces hors du jeu, et sa nouvelle signature de Southampton pourrait avoir une idée sur la façon de le faire.

Bednarek a partagé ses réflexions sur le plan de match de Villa (via l’Express & Star), alors qu’il discutait de la manière dont son équipe peut arrêter City – en particulier la menace que Haaland représente contre les Villans.

Il a déclaré: « Si quelqu’un marque neuf buts en cinq matchs, cela doit être impressionnant, surtout en Premier League. Mais ce n’est qu’un être humain et il peut aussi être défendu. [against] très bien. J’espère que nous pourrons le faire.

« On sait que ça va être difficile car ils ont des qualités mais on va être vraiment engagés, vraiment agressifs. Si nous ne leur donnons pas trop de temps sur le ballon, ils peuvent aussi avoir du mal, alors j’espère que nous pourrons le faire.

A LIRE SUIVANT :