La partie supérieure de la sous-station offshore construite pour le Dogger Bank B est arrivée au chantier naval d’Aibel à Haugesund, en Norvège.

Crédits : Øyvind Sætre / Aibel

Un peu plus d’un mois après le départ de la sous-station A du Dogger Bank, la plate-forme sœur est arrivée à Haugesund et a été transportée depuis le chantier naval d’Aibel en Thaïlande par le navire de transport lourd de BigLift Shipping. BigLift Baffin.

En octobre 2019, Aibel a été sélectionnée pour livrer deux plateformes pour les phases A et B du Dogger Bank de 2,4 GW, avec une option pour une plateforme supplémentaire pour la phase C du Dogger Bank de 1,2 GW.

Le contrat pour les deux premières plateformes a été signé en novembre 2020 alors que les développeurs du parc éolien, SSE Renewables et Equinor, atteignaient le stade de la clôture financière pour les deux premières phases. Le contrat pour Dogger Bank C a été signé après la clôture financière de la dernière phase en décembre 2021.

La sous-station du Dogger Bank A est déjà installée, tandis que la livraison du Dogger Bank B est prévue pour le deuxième trimestre 2024 et celle de la plateforme offshore du Dogger Bank C pour le deuxième trimestre 2025.

Selon les informations précédentes, pendant son séjour en Norvège, la plateforme de sous-station offshore sera équipée des éléments suivants Hitachi Energy technologie de convertisseur CCHT de dernière génération.

Saipem est responsable du transport et de l’installation des sous-stations Dogger Bank A et B, tandis que Seajacks prendra en charge les travaux de raccordement et de mise en service pour les trois phases du projet.

Au début de ce mois, le navire grue semi-submersible (SSCV) de Heerema Marine Contractors a été mis à l’eau. Thialf a installé l’enveloppe de la sous-station offshore pour Dogger Bank B.

Le parc éolien de Dogger Bank, d’une capacité de 3,6 GW, est construit en trois phases de 1,2 GW à quelque 130 kilomètres des côtes britanniques.

Une fois achevé, le parc éolien offshore aura la capacité d’alimenter six millions de foyers britanniques. Le projet est une coentreprise entre SSE Renewables (40 %), Equinor (40 %) et Vårgrønn (20 %).