Au total, 24 cas de mutation britannique et sud-africaine du coronavirus ont été détectés en Norvège. Cependant, l’Institut de santé publique (FHI) ne pense pas que les mutations se soient implantées en Norvège.
«Si les mutations s’étaient généralisées en Norvège, nous l’aurions découverte. Nous avons également beaucoup testé en lien avec les épidémies. Nous ne l’avons pas vu là-bas.
«Nous supposons que ces nouvelles variantes auraient provoqué des épidémies avec une large propagation de l’infection si elles avaient pris pied ici», a noté la chef de FHI, Camilla Stoltenberg.
Seuls 5% des échantillons de virus positifs en Norvège sont contrôlés pour voir s’il existe des mutations nouvelles et plus infectieuses.
Néanmoins, les autorités sanitaires sont relativement convaincues que les mutations ne se sont pas propagées davantage à grande échelle en Norvège.
24 cas en Norvège
Les deux mutations corona, qui se sont fortement propagées en Afrique du Sud et au Royaume-Uni, ont poussé les autorités sanitaires du monde entier à tirer la sonnette d’alarme.
Des études suggèrent que les nouvelles variétés peuvent être entre 50 et 70% plus contagieuses.
En Norvège, le premier cas du virus britannique muté a été détecté fin décembre, et depuis lors, 22 autres cas ont été détectés, ainsi qu’un cas du variant sud-africain.
Chaque semaine, le FHI reçoit des échantillons des laboratoires microbiologiques qui traitent les tests corona, qu’ils vérifient ensuite pour les mutations.
En outre, ils analysent les virus provenant d’épidémies spécifiques.
«Nous avons déjà augmenté le nombre d’échantillons qui sont examinés pour les mutations, et nous allons augmenter encore plus», a déclaré Stoltenberg.
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Passionnée par la culture nordique, par la nature, par l’écriture, voici que j’ai réunie mes passions dans ce site où je vous partage mes expériences et mes connaissances sur la Norvège spécialement. J’y ai vécu 2 ans entre 2015 et 2017, depuis les décors me manque, la culture me manque. Bonne lecture.