Mon billet « Chacun est responsable de l’environnement de travail » est basé sur l’environnement de travail comme jauge de température pour les livrables de travail sociaux et non les livrables de travail purement professionnels. Dans ce contexte, l’environnement de travail est créé par ceux qui y participent, et l’environnement sera toujours en évolution. Pour sa part, Stami (l’Institut norvégien de l’environnement de travail) estime que c’est trop étroit, car l’environnement de travail doit être lié au travail lui-même et à la manière dont il est organisé et conçu.

J’aimerais croire que Stami a consacré du temps et des ressources pour arriver à sa définition d’un environnement de travail. Dans mon poste, j’ai choisi de traiter d’une approche plus pratique et accessible pour le simple employé et employeur. La prise de conscience de la manière dont chaque participant individuel peut contribuer à la sauvegarde de l’environnement de travail est importante, surtout maintenant que nous voyons de nouveaux modèles d’organisation de la vie professionnelle.

Personne n’a fasit ici. Il doit être possible de suivre les deux axes, à la fois l’axe organisationnel et structurel de travail auquel Stami se rapporte, et le côté social plus pratique que mon article met en évidence. Je continue de croire que l’environnement de travail peut être le ciment social de la vie professionnelle et qu’il est important à la fois pour la satisfaction et la satisfaction au travail.

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