Avant que les équipes sportives engagent des entraîneurs, elles peuvent obtenir un certificat de police. Mais les partis ne pourraient pas le faire avant d’avoir dressé les listes pour les élections municipales de cette année.
La version courte
- Aftenposten a révélé qu’au moins 492 condamnés se présentent aux élections municipales cette année. Les condamnations comprennent des fraudes graves, des escroqueries, des abus et des abus sexuels sur enfants.
- Les partis politiques norvégiens ne sont pas autorisés à obtenir les antécédents criminels des candidats potentiels. Le professeur de sciences policières Morten Holmboe estime qu’on ne peut donc pas reprocher aux partis de ne pas avoir vérifié les certificats de police des candidats.
- Selon Holmboe, la question de la connaissance des candidats condamnés sur la liste va à l’encontre du droit à la vie privée et du droit de laisser derrière eux les infractions condamnées.
Le résumé est créé à l’aide de l’intelligence artificielle (IA) et de la qualité assurée par les journalistes d’Aftenposten.
Aftenposten a révélé qu’au moins 492 condamnés se présentent aux élections cette année.
Les fraudes flagrantes, les escroqueries et les mauvais traitements ne sont que quelques-uns des actes criminels dont certains candidats de liste sont inscrits dans leurs dossiers.
Et comme Aftenposten a pu le révéler récemment, plusieurs candidats ont également été reconnus coupables de maltraitance sur enfants.
Nous avons interviewé l’un d’entre eux. Il a été condamné à un an et deux mois de prison pour avoir surfé pour avoir agressé sexuellement des enfants de deux ans. Ni les électeurs ni le parti n’étaient au courant du verdict.
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