TaxiPhoto: Heiko Junge / NTB

L’automne dernier, l’Association norvégienne des taxis a fortement demandé à l’Institut national de la santé publique (FHI) d’accorder la priorité aux vaccins aux chauffeurs de taxi. Leur demande n’a pas été acceptée, alors maintenant ils demandent à nouveau.

La demande vient de la directrice Hanne Skåle Thowsen de l’Association norvégienne des taxis. Elle pense qu’il y a plusieurs raisons pour lesquelles les chauffeurs de taxi devraient avoir la priorité.

L’un d’eux, selon Thowsen, est que les chauffeurs de taxi constituent un groupe professionnel très vulnérable en raison du fait que la majorité des déplacements qu’ils effectuent se font à destination et en provenance des hôpitaux et des stations de test.

«Les chauffeurs de taxi sont très bien classés dans les statistiques d’infection en tant que groupe professionnel particulièrement vulnérable à l’infection et qui peut alors potentiellement transmettre l’infection à d’autres groupes vulnérables, tels que les patients sous traitement contre le cancer», a-t-elle noté dans un communiqué de presse.